Face à ce temps de crise, d’outrage et de violence que connaît actuellement le monde de l’hôtellerie, je me dois en qualité de chroniqueur, indépendant et fier de l’être, de m’insurger auprès de mes concitoyens.
samedi 14 mai 2011
mercredi 6 avril 2011
Chapitre V - Le spa & moi
Si vous avez bien lu le précédent chapitre, vous savez déjà que nous vous recommandons de ne pas sortir de votre chambre en peignoir, comme si vous étiez en cure, pour vous rendre au spa.
Ayez de l’allure et portez une tenue saillante et adéquate pour vous rendre dans un premier temps à l’espace fitness ou vous testerez l’ensemble des appareils, comme si vous vous y entraîniez tous les jours.
Le mode d’utilisation de ces instruments de torture est en général décrit sur la machine par des schémas très suggestifs, qui vous permettront si vous vous retrouvez au fin fond du Kazakhstan de ne pas avoir l’air ridicule.
Si vous préférez prendre un peu d’avance, regardez le téléachat et vous y trouverez les mêmes appareils ridicules, de quoi savoir comment s’en servir, et surtout apprendre ce fameux sourire crispé, qui fera de vous un parfait sportif.
lundi 24 janvier 2011
Chapitre IV - Mes vêtements, mon palace & moi
Que porter dans un palace, voilà une question tragique !
Question si lourde qu’on se pose avant de faire sa valise, pendant que l’on fait sa valise et lorsqu’on défait sa valise…
jeudi 13 janvier 2011
Chapitre III - Profiter pleinement de sa chambre d’hôtel
Alors, après avoir débarqué dans une limousine 8 portes, vous avez demandé à changer la moquette de votre chambre, pour un imprimé zébré jaune, vert, violet.
Mais enfin, cher ami Voyageur, vous qui goûtez avec envie et enthousiasme à ce vibrant univers de l’hôtellerie d’exception, sachez que tout se vit avec goût, et bon goût.
Cessez donc de vous prendre pour une star vulgaire à la bouche refaite, et révisez bien les premiers chapitres, car si vous avez répondu 150 euro à la question du chapitre II, qui était, je vous le rappelle, « Combien avez-vous donné au bagagiste ? » et bien, j’ai l’heureux plaisir de vous coiffer d’un bonnet d’âne, et pas à paillettes cette fois, non, non, car je connais désormais, votre vilain goût pour l’ostentation.
Reprenons, je vous prie, et je vous invite grandement à avoir de l’attention cette fois ci.
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